Se laisser aller
[Quelque chose d’agréable]
[Et de rare à la fois…]
Note du mercredi,
sans le cri des
enfants
SVP
:: :: ::
Un phénomène étrange et néanmoins
aisé se produit lorsque vous vivez dans une suite à Bangkok, aux frais de la
princesse*
* Traduisez : aux frais du
Prince en l’occurrence…
Il y a un an, et pendant un an,
je me suis donc… laissée aller. Génial, trop facile et sans séquelles.
Quoique, sur le dernier point,
j’ai quelques doutes tiens.
Aujourd’hui, c’est un peu dur.
Comme le sommier sans matelas par exemple.
Et c’est d’autant plus dur pour
moi, qui essaie désespérément de reprendre un quotidien « normal »,
que je me retrouve à présent dans un pays froid, à me lever aux aurores pour
aller au bureau et à prendre le bus parce qu’on n’a toujours pas de voiture.
En un mot comme en 44OO : il
faut que je me fasse une raison et cette raison me dit d’aller voir chez les
Grecs si elle y est d’attendre, d’être patiente.
De grâce, il est encore possible
de se faire du bien, de se laisser un peu aller, même si on ne vit à l’hôtel dans
une ville ensoleillée comme la capitale de Thaïlande.
Et comment ?
:: Comme ca ::
Nota : oui, enfin, pour vous
dire la vérité, cette crème géniale de chez Watson a du être lâchement
abandonnée – comme une dizaine d’autres produits [sic] – dans la salle de bain
de l’hôtel, afin d’éviter l’excès de poids des bagages en arrivant à
l’aéroport…