Non, rien de rien
[je ne... veux rien faire]
* Edith Piaf, of course.
Mais moi les paroles m’en fiche un peu ce matin.
D’ailleurs, j’aurais pu vous mettre
celles de Pink Martini qui fredonne Je ne veux pas travailler de façon si peu
énergique que ça aurait été pareil.
Et oui, maintenant, le vendredi est
en passe de devenir comme le lundi, une journée entamée par une fichue nonchalance qui m’envahit
dès le pied gauche posé au sol et jusqu’au dernier pas de la journée.
Le vendredi étant le constat de ce que j'ai fait, pas fait, repoussé, voulu faire mais pas pu etc etc, ça n'aide franchement pas à voir le week-end d'un bon oeil.
Bah non... Faut dire qu'en ce moment, j'aurais plutôt tendance à voir que mes constats ne sont pas très positifs.
Grandiose. Surtout quand on se penche sérieusement sur la dite productivité.
Et le pire, c'est que je veux quand même en faire plus, que je pense à plein de choses mais que je me sens finalement encore moins capable d'en faire.
[phénomène étonnant à étudier de façon plus approfondie]
Bon, je pourrais arrêter de faire mon Caliméro parce que j'aime pas me plaindre, encore moins quand y'a plus triste que moi quelque part, mais j’ai mal aux dents - tu parles d'une excuse - et faut que je retourne chez le dentiste sauf qu'il m’a fait peur et moi les dentistes qui me font peur, j’aime pas ça. J'aime pas être vulnérable beurk.
A part ça, rigole rêve là - et je lui parlerai de vous et de tous vos messages qui
me font tant plaisir et aussi du dentiste qui me fait peur et que moi j'aime pas ça...
Edit : je me rends compte que ce billet est un peu décousu mais une chose est sûre, tout ce que j’écris, c’est telle que je suis…
Nota : la photo démontre que même si c'est à 99% de la déco que j'ai regardé hier, je n'ai finalement acheté que des fringues...
On peut pas être à 1OO% optimum dans ses résolutions tous les jours.