[ou l’histoire d’un week-end]
L’effet Tsunami est bien passé,
quelques pancartes subsistent ici et là lorsqu’il fallait indiquer les
directions pour évacuer les lieux, mais l’île reste un endroit très fréquenté.
Je rajouterais même sans difficulté :
trop fréquenté.
Evidemment, on ne peut pas se
plaindre quand on choisit la destination nous-mêmes [c’est pas comme si ça
sortait d’une pochette surprise]
Reste de magnifiques photos, des
pêcheurs en pleine action, levés avant le soleil pour le voir tomber du lit et
se faire chatouiller les orteils par un sable doux comme la farine.
Il n’en faut pas plus pour profiter
du week-end [à moins de s’appeler insatisfaite chronique]
Je vous laisse quelques photos
parce que, vous le savez bien, les images parlent toujours plus que les mots…
Nota : des fois je me dis que je devrais faire des cartes postales moi.